📂 3 février 2024: Observance de la Journée mondiale de la vie consacrée en Haiti: Mot du Président de la CHR
📅 Publié le dimanche 4 février 2024 à 12h55
Texte reçu le 3 février 2024
✍ Introduction:
La Journée mondiale de la vie consacrée fut un des encouragements de l’Eglise Catholique envers les consacré(e)s. Elle a été initiée en 1997 sous le pointificat du pape Jean-Paul II qui avait alors souhaité que fût instituée une journée de remerciements pour ce précieux don qu’est la vie consacrée dans la personne des prêtres, religieux, religieuses et laics qui ont décidé de donner leur vie au Seigneur en le suivant de plus près.
Cette journée se célèbre annuellement le 2 février, mais a été observée cette année en Haiti le samedi 3 février, ce « pour une participation plus nourrie des religieuses et religieux ».
Le texte suivant est le discours prononcé en la circonstance par le président de la CHR, Révérend Père Morachel Bonhomme, sdb
Révérends pères,
Révérendes sœurs
Révérends frères,
La journée de la vie consacrée est célébrée en la fête de la Présentation du Seigneur au Temple le 2 février de chaque année. Cette journée revêt donc une importance particulière pour toute personne consacrée, qui, inspirée par le don bouleversant du Christ, aspire à son tour à tout abandonner pour marcher à sa suite et à donner sa vie comme lui. Nous sommes aujourd’hui au 3 février 2024, la XXVIIème Journée Mondiale de la Vie Consacrée. (suite…)
La Conférence Haïtienne des Religieux (CHR) s’unit aux exclamations de joie des soeurs de Sainte Anne, de Mgr Max Leroy Mésidor, Archevêque Métropolitain de Port-au-Prince, des fidèles et de toutes les personnes qui ont été attristées par l’enlèvement spectaculaire de six religieuses de la Congrégation des Soeurs de Sainte Anne en date du 19 janvier 2024, de leur chauffeur et d’une jeune fille qui les accompagnait, pour rendre grâce à Dieu pour ses merveilles dans notre vie et notre histoire.
Encore une fois, “un cri terrible s’élève dans Rama. Nous avons écouté une clameur de souffrance et des pleurs d’amertume. C’est la Mère Rachel qui pousse un cri et qui pleure ses enfants enlevés. Elle ne veut pas être consolée car ses enfants ne sont plus avec elle ». (Jérémie 31, 15-17 et Matthieu 2, 18).